lundi 20 février 2017

Groupe 10, journées de réflexion



De la rue au logement, le but est de se reconstruire à travers l’intimité et la vie sociale.
-L’intimité, c’est se recentrer sur soi, de reprendre l’envie de s’occuper de son corps, d’être à l’abri des regards et des bruits.
-La vie sociale est également primordiale pour éviter la solitude entre quatre murs et se reconstituer un réseau à travers l’assistance.
Il est donc question de ne pas faire un logement hermétique, mais qui peut s’ouvrir sur un espace social. Le but est donc de construire un noyau intime avec toutes les commodités, compacte et fonctionnel conçu comme un mobilier. Toutes les contraintes techniques sont concentrées dans ce noyau, la périphérie devient donc un espace libre qui peut s’ouvrir.
C’est l’extrême intimité du noyau qui permet l’ouverture du reste du logement.

Seul le module est contraint, le reste du logement peut prendre une multitude de formes, de tailles et de matières en fonction du territoire dans lequel le logement vient s’implanter.